Depuis plusieurs années le Maroc se rapproche des pays de l'Afrique subsaharienne avec lesquels il tisse des liens de plus en plus étroits, envisageant d'intégrer l'espace OHADA afin de faciliter les investissements, implantations et actions de ses entreprises et détenteurs de capitaux qui souhaitent prendre part à cette coopération sud-sud et participer au développement économique de cette partie du globe. Un phénomène dont il importe de mesurer l'impact juridique à travers la comparaison du droit marocain avec les normes juridiques applicables au sein de l'espace OHADA.Coordonné par Christophe JUHEL, Salah MAATOUK et Didier BAISSET, les thèmes repris sont issus du colloque " Les enjeux juridiques et économiques de l'intégration du Maroc à l'espace OHADA " qui s'était ...
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Depuis plusieurs années le Maroc se rapproche des pays de l'Afrique subsaharienne avec lesquels il tisse des liens de plus en plus étroits, envisageant d'intégrer l'espace OHADA afin de faciliter les investissements, implantations et actions de ses entreprises et détenteurs de capitaux qui souhaitent prendre part à cette coopération sud-sud et participer au développement économique de cette partie du globe. Un phénomène dont il importe de mesurer l'impact juridique à travers la comparaison du droit marocain avec les normes juridiques applicables au sein de l'espace OHADA.Coordonné par Christophe JUHEL, Salah MAATOUK et Didier BAISSET, les thèmes repris sont issus du colloque " Les enjeux juridiques et économiques de l'intégration du Maroc à l'espace OHADA " qui s'était déroulé le 26 septembre 2019 au sein de l'Université Sidi Mohammed Ben Abdallah de Fès au Maroc, sous les auspices du Centre de droit des obligations et des contrats (CDOC) de Fès, du département de droit privé et du master droit privé et sciences criminelles de l'Université Sidi Mohammed Ben Abdallah de Fès et de l'axe normes et droit comparé du Centre de recherche sur les sociétés et environnements méditerranéens (CRESEM) de l'Université de Perpignan Via Domitia.