Orphée ou les sirènes

L'imaginaire littéraire de la musique
Claude COSTE
Revue
Ritm
Date de publication
12 novembre 2014
Résumé
Pour les écrivains marqués par les crises du moderne, la musique offre le modèle d'une tension permanente entre la construction et la déconstruction, le tout et la partie, le fragment et la totalité. La musique rappelle qu'un ordre est possible et que cet ordre est sans cesse remis en cause, pour le meilleur et pour le pire. Qu’il s’agisse de la communauté des auditeurs opposée à la déréliction chez Berg, du « clair-obscur » pour Julien Gracq, de la fugue des Faux-monnayeurs ou de la prière de Marie dans Wozzeck, de l’album et du Livre chez Barthes, du « roman musical » comme dépassement des antagonismes, du jeu de la liaison et de la déliaison chez Quignard, de la puissance unificatrice de l’amour selon Mauriac, la musique d’Orphée donne le bel exemple d’une harmonie q ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
22 €
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Actuellement Indisponible
ISSN 11662212
Date de première publication du titre 2014
ISBN 9782840161912
EAN-13 9782840161912
Référence 118041-78
Nombre de pages de contenu principal
Format 15 x 21 x 1 cm
Poids 375 g

Sommaire

Liste des abréviations
Avant-propos
Les chapitres de ce livre ont donné lieu à une première publication
en revue ou en volume
Moderne ou contemporain ?
La musique sérielle : une ère nouvelle dans l'histoire de la musique ?
Wozzeck ou la déréliction
Barthes : musique au présent
Le Versailles musical des écrivains français
Modèles croisés
L'enfance musicale de Jean-Christophe
Les Faux-monnayeurs ou l'Art de la fugue
Michaux moraliste dans Poteaux d’angle
L’opéra français contemporain : du roman au livret
Pouvoirs de la littérature
Correspondances de Romain Rolland avec les compositeurs
François Mauriac, { l’illettré } de la musique
Le scandale de Pelléas et Mélisande
Julien Gracq : la musique, un héritage du symbolisme ?
Le Nom sur le bout de la langue ou le voyage d’Orphée
Épilogue

Pour les écrivains marqués par les crises du moderne, la musique offre le modèle d'une tension permanente entre la construction et la déconstruction, le tout et la partie, le fragment et la totalité. La musique rappelle qu'un ordre est possible et que cet ordre est sans cesse remis en cause, pour le meilleur et pour le pire. Qu’il s’agisse de la communauté des auditeurs opposée à la déréliction chez Berg, du « clair-obscur » pour Julien Gracq, de la fugue des Faux-monnayeurs ou de la prière de Marie dans Wozzeck, de l’album et du Livre chez Barthes, du « roman musical » comme dépassement des antagonismes, du jeu de la liaison et de la déliaison chez Quignard, de la puissance unificatrice de l’amour selon Mauriac, la musique d’Orphée donne le bel exemple d’une harmonie qui se nourrit de son propre désenchantement.

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