Cet ouvrage entend questionner l'espace hispano-américain dans ses représentations romanesques chez Alejo Carpentier, Los Pasos Perdidos, et José Eustasio Rivera, La Vorágine. L'espace est compris comme élément du chronotope (temps/espace), par rapport à l'histosire et à l'imaginaire, comme " milieu idéal caractérisé par l'extrémité de ses parties dans lequel sont localisées nos perceptions et qui contient par conséquent toutes les catégories finies " (Lalande). Cet espace échappe-t-il à l'hisoire ? L'espace, hispano-américain ou autre, en tant qu'objet culturel construit n'est-il que le lieu des pratiques imaginatives, n'est-il que le reflet de l'imaginaire social ?Si l'homme est le temps, il intervient sur et dans l'espace qu'il construit et modèle, l'espace est alors ...
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Cet ouvrage entend questionner l'espace hispano-américain dans ses représentations romanesques chez Alejo Carpentier, Los Pasos Perdidos, et José Eustasio Rivera, La Vorágine. L'espace est compris comme élément du chronotope (temps/espace), par rapport à l'histosire et à l'imaginaire, comme " milieu idéal caractérisé par l'extrémité de ses parties dans lequel sont localisées nos perceptions et qui contient par conséquent toutes les catégories finies " (Lalande). Cet espace échappe-t-il à l'hisoire ? L'espace, hispano-américain ou autre, en tant qu'objet culturel construit n'est-il que le lieu des pratiques imaginatives, n'est-il que le reflet de l'imaginaire social ?Si l'homme est le temps, il intervient sur et dans l'espace qu'il construit et modèle, l'espace est alors le lieu etle signe des relations humaines.