En 1800, Staël fait paraître De la littérature. L'ouvrage se veut une réflexion sur les rapports entre la littérature et les "institutions sociales" (lois, mœurs, religion) pour comprendre l'histoire des formes littéraires et le progrès des idées. Empruntant à Montesquieu et à Condorcet, il s'agit pour l'autrice de réfléchir à ce que pourrait être une littérature en régime républicain, spécifique au cas français. Mais la conception d'une humanité toujours en progrès est-elle absolument tenable? N'existe-t-il pas des obstacles puissants à une telle évolution? La présente étude se propose de guider le lecteur pour mieux appréhender les différentes facettes du premier grand essai staëlien.En 1800, Staël fait paraître De la littérature. L'ouvrage se veut une réflexion sur l ...
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Chapitre 2 : " Le rapport qui existait entre la littérature et les institutions de chaque siècle et de chaque pays "
Chapitre 3 : Le cas français, de l'Ancien Régime à la République
Chapitre 4 : Défendre les Lumières, malgré tout
Conclusion : Liberté, liberté chérie
Anthologie de textes critiques
Annexes
Bibliographie
En 1800, Staël fait paraître De la littérature. L'ouvrage se veut une réflexion sur les rapports entre la littérature et les "institutions sociales" (lois, mœurs, religion) pour comprendre l'histoire des formes littéraires et le progrès des idées. Empruntant à Montesquieu et à Condorcet, il s'agit pour l'autrice de réfléchir à ce que pourrait être une littérature en régime républicain, spécifique au cas français. Mais la conception d'une humanité toujours en progrès est-elle absolument tenable? N'existe-t-il pas des obstacles puissants à une telle évolution? La présente étude se propose de guider le lecteur pour mieux appréhender les différentes facettes du premier grand essai staëlien.En 1800, Staël fait paraître De la littérature. L'ouvrage se veut une réflexion sur les rapports entre la littérature et les "institutions sociales" (lois, mœurs, religion) pour comprendre l'histoire des formes littéraires et le progrès des idées. Empruntant à Montesquieu et à Condorcet, il s'agit pour l'autrice de réfléchir à ce que pourrait être une littérature en régime républicain, spécifique au cas français. Mais la conception d'une humanité toujours en progrès est-elle absolument tenable? N'existe-t-il pas des obstacles puissants à une telle évolution? La présente étude se propose de guider le lecteur pour mieux appréhender les différentes facettes du premier grand essai staëlien.