Billy Wilder et la musique d'écran

filmer l'invisible
Julie MICHOT
Collection
Studia remensia
Date de publication
31 octobre 2017
Résumé
Julie Michot relève le défi d'aborder Billy Wilder par le biais de la musique et nous ouvre une perspective passionnante en nous faisant réaliser à la fois l'abondance et la diversité de cette dimension dans l'œuvre du cinéaste. De plus, dans cette analyse, la musique, parce qu'elle sous-tend le dialogue et le son, devient à la fois un outil d'investigation original et un instrument de création considérable et, jusqu'ici, négligé. Car, par le biais de la musique, c'est la maîtrise chorégraphique qui est étudiée (l'hôtel-cabaret de Berlin-Est dans Un, deux, trois, qui culmine dans les trémoussements de Liselotte Pulver au son de La Danse du sabre; la ronde effrénée des danseurs autour de Watson dans La Vie privée de Sherlock Holmes); puis la gestion de la mécanique des c ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
20.00 €
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Date de première publication du titre 31 octobre 2017
ISBN 9782374960357
EAN-13 9782374960357
Référence 121833-44
Nombre de pages de contenu principal 200
Format 14.8 x 21 x 1.5 cm
Poids 271 g

Christian Viviani – Préface

Remerciements

Avant-propos : " Faire parler " la musique

Chapitre I : Profondeur de chant ?

Le ridicule ne tue pas (les stars autoproclamées)

Trouver son public… ou non

Élucubrations mélodiques

Des virtuoses en manque d'inspiration

Chapitre II : Musique et séduction : un cocktail déton(n)ant

Les Tziganes, musiciens de toutes les situations

Chaises musicales

Une banquette de piano pour deux

Chapitre III : Instrumentaliser la musique

Quand la musique est sourde au malheur

Leitmotivs wilderiens

La fin justifie la musique

Conclusion : Une œuvre empreinte de musicalité

Filmographie de Billy Wilder en tant que réalisateur

Bibliographie

Discographie

Index des films cités

Index des œuvres musicales citées

Julie Michot relève le défi d'aborder Billy Wilder par le biais de la musique et nous ouvre une perspective passionnante en nous faisant réaliser à la fois l'abondance et la diversité de cette dimension dans l'œuvre du cinéaste. De plus, dans cette analyse, la musique, parce qu'elle sous-tend le dialogue et le son, devient à la fois un outil d'investigation original et un instrument de création considérable et, jusqu'ici, négligé. Car, par le biais de la musique, c'est la maîtrise chorégraphique qui est étudiée (l'hôtel-cabaret de Berlin-Est dans Un, deux, trois, qui culmine dans les trémoussements de Liselotte Pulver au son de La Danse du sabre; la ronde effrénée des danseurs autour de Watson dans La Vie privée de Sherlock Holmes); puis la gestion de la mécanique des corps devient naturellement celle des voix et des répliques, voire des détails faciaux (il y a chez Wilder une chorégraphie du visage de Jack Lemmon). Bref, en un remarquable équilibre de rigueur analytique et de gourmandise cinéphile, Julie Michot célèbre un art complet, souverain, bien plus profond et complexe que ses apparences enivrantes le laissent supposer.

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