L'enfant, le droit et le cinéma

Magalie FLORES-LONJOU,Agnès LUGET
Date de publication
22 mars 2012
Résumé
L'enfant, être par définition innocent et fragile, fascine tant le monde littéraire et cinématographique que l'univers juridique. Nos recherches tendent dès lors, à concentrer le regard sur l'apport mutuel du cinéma et du droit à la thématique de l'enfant.L'enfant, promesse d'avenir, adulte en devenir, suscite une protection adaptée à ses caractéristiques intrinsèques. L'image de l'enfant a alors souvent laissé place, dans les consciences collectives, à une représentation iconique et sacrée de l'enfant. Toutefois, le 7e art a su dépasser cette représentation sage et innocente d'un être vulnérable. Derrière les traits angéliques d'adorables bambins, se profilent aussi des êtres maléfiques et pervers envers lesquels la société a un devoir de protection. En cela, le cinéma ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
18.00 €
Ajout au panier /
Actuellement Indisponible
Date de première publication du titre 22 mars 2012
ISBN 9782753518360
EAN-13 9782753518360
Référence R2362-53
Nombre de pages de contenu principal 270
Format 16.5 x 24 x 0 cm
Poids 474 g

L'enfant, le droit et le cinéma. Trois approches complémentaires

L'enfant : de l'écrit à la pellicule

Le cinéma et la parole de l'enfant

Le cinéma révélateur d'un statut juridique de l'enfant

L'enfant, être par définition innocent et fragile, fascine tant le monde littéraire et cinématographique que l'univers juridique. Nos recherches tendent dès lors, à concentrer le regard sur l'apport mutuel du cinéma et du droit à la thématique de l'enfant.L'enfant, promesse d'avenir, adulte en devenir, suscite une protection adaptée à ses caractéristiques intrinsèques. L'image de l'enfant a alors souvent laissé place, dans les consciences collectives, à une représentation iconique et sacrée de l'enfant. Toutefois, le 7e art a su dépasser cette représentation sage et innocente d'un être vulnérable. Derrière les traits angéliques d'adorables bambins, se profilent aussi des êtres maléfiques et pervers envers lesquels la société a un devoir de protection. En cela, le cinéma se veut également le témoin d'une société en souffrance, impuissante au regard d'enfants qui par nature appelaient sa protection.De fait, le cinéma, en portant la figure, puis la parole de l'enfant à l'écran, ancre la place du mineur au coeur de nos sociétés. Les nombreux paradoxes qui entourent l'enfant dessinent un statut de l'enfant qui se révèle à travers les filmographies, françaises et étrangères. Si le cinéma ne peut confirmer l'existence d'un profil universel de l'enfant tant les spécificités nationales demeurent prégnantes, il n'en demeure pas moins qu'à l'instar du droit, le 7e art met en relief la dualité du statut juridique de l'enfant et le déplacement du curseur de l'enfant à protéger vers l'adulte en devenir, titulaire de droits propres.L'ouvrage augure ainsi d'une richesse thématique et d'une variété d'œuvres étudiées qui décryptent l'enfant dans tous ses états.

Recommandations