À quel moment un événement historique peut-il être perçu comme étant un fait d'humour ? Lorsqu'il surgit ? Lorsqu'il est raconté ? Dans des correspondances privées ou des écrits institutionnels ?
Annie Duprat, " Histoire, humour et caricatures " ; Cédric Michon, " Entre gaffes, sens de la répartie et ironie. Langue des courtisans et jeux de pouvoir à la Renaissance " ; Frédérique Pitou, " De l'innocence du rire à l'insolence de la dérision, le témoignage des archives " ; Philippe Bourdin, " Saynètes patriotiques entre ombres et Lumières. Philippe-Antoine Dorfeuille et les héritages des Boulevards " ; Laurent Bihl, " L'armée du chahut. Le cortège artistique comme métaphore de l'outrance graphique " ; Guillaume Doizy, " L'Histoire de France tintamarresque entre satire du passé et dénonciation politique du présent " ; Solange Vernois, " L'Histoire de France pour les mômes de Jules Dépaquit ou l'esprit de Montmartre " ; Emmanuel Pollaud-Dulian, Chas Laborde, ou l'humour contre l'Histoire " ; Christian Moncelet, " Les Français ont les têtes aux piques. Naissance et évolution d'un stéréotype iconique ".
À quel moment un événement historique peut-il être perçu comme étant un fait d'humour ? Lorsqu'il surgit ? Lorsqu'il est raconté ? Dans des correspondances privées ou des écrits institutionnels ?