Si Joë Bouquet entend bien revendiquer, de manière stoïcienne, l'événement qui a fait de lui le paraplégique de la littérature française, cet événement apparaît pourtant infiniment problématique dès lors qu'on s'intéresse aux textes dans lesquels il y est fait explicitement allusion. Et si cette blessure n'était qu'une fable ? Question déroutante, que toute l'oeuvre de Bousquet, page après page, nous oblige à reposer. Hypocrisies de Joë Bousquet, à seize reprises, s'emploie à relancer ce paradoxe d'une blessure constamment réaffirmée et constamment niée tout à la fois.
Le Sage et le dindon Fables de la blessure Post-scriptum (à La Très-véridique histoire de Marthe L'Etrangère) Les chemins détournés de l'épistolaire Dialoguer avec Méduse Marché noir Le Passeur, entre parenthèses Du palindrome Cache-cache Joë Bousquet soi-disant Le théâtre des sources L'erreur du visage Parenthèses autour d'une pupille ...D'une pupille blessée Le seuil des larmes Interruptions : les bruits de la nuit
Qui perd gagne ? Bibliographie
Si Joë Bouquet entend bien revendiquer, de manière stoïcienne, l'événement qui a fait de lui le paraplégique de la littérature française, cet événement apparaît pourtant infiniment problématique dès lors qu'on s'intéresse aux textes dans lesquels il y est fait explicitement allusion. Et si cette blessure n'était qu'une fable ? Question déroutante, que toute l'oeuvre de Bousquet, page après page, nous oblige à reposer. Hypocrisies de Joë Bousquet, à seize reprises, s'emploie à relancer ce paradoxe d'une blessure constamment réaffirmée et constamment niée tout à la fois.