Les Expressions de puissance d'agir chez Spinoza

Chantal JAQUET
Collection
Philosophie
Date de publication
2 octobre 2005
Résumé
L'ouvrage explore les diverses facettes physiques, mentales et psychophysiques de la puissance d'agir chez Spinoza, de la peur de la mort qui en constitue le plus bas degré à la jouissance de l'éternité qui en est l'acmé. À travers une série de variations regroupées autour de quatre principaux thèmes - l'éternité de l'esprit, la positivité du faux, Spinoza dans le temps, corps et affects - il s'agit de ressaisir la puissance dans l'impuissance, la fortitude dans la finitude, et d'exprimer la positivité du négatif en allant chercher la puissance là où l'on ne s'attendrait pas à la trouver. Les trois premières parties examinent la puissance mentale qui culmine avec la conscience de l'éternité de l'entendement, mais qui se manifeste aussi bien à travers la persistance d'un ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
22.00 €
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Actuellement Indisponible
Date de première publication du titre 2 octobre 2005
ISBN 9782859445379
EAN-13 9782859445379
Référence 111284-09
Nombre de pages de contenu principal 304
Format 16 x 24 x 1.8 cm
Poids 486 g
L'ouvrage explore les diverses facettes physiques, mentales et psychophysiques de la puissance d'agir chez Spinoza, de la peur de la mort qui en constitue le plus bas degré à la jouissance de l'éternité qui en est l'acmé. À travers une série de variations regroupées autour de quatre principaux thèmes - l'éternité de l'esprit, la positivité du faux, Spinoza dans le temps, corps et affects - il s'agit de ressaisir la puissance dans l'impuissance, la fortitude dans la finitude, et d'exprimer la positivité du négatif en allant chercher la puissance là où l'on ne s'attendrait pas à la trouver. Les trois premières parties examinent la puissance mentale qui culmine avec la conscience de l'éternité de l'entendement, mais qui se manifeste aussi bien à travers la persistance d'un noyau de positivité au sein même des notions confuses et des idées inadéquates, comme le bien et le mal, qu'à travers la permanence de ce que l'on pourrait appeler l'esprit du spinozisme dans le temps. À ces expressions mentales de la puissance d'agir font pendant les variations physiques et psychophysiques de la quatrième partie où sont analysées, d'une part, les capacités du corps et son aptitude à se faire reconnaître comme humain en lui-même et par lui-même, et d'autre part, les modifications affectives de la puissance d'agir, de la mort à l'amour, de la servitude passionnelle à la fortitude retrouvée.

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