Empreintes - Baudelaire, Colette, Friedrich, Gombowicz, Jaccottet, Larbaud, Mallarmé, Mandiargues, Michaux, Pong

Gérard FARASSE
Collection
Objet
Date de publication
24 mars 1999
Résumé
" Il est bon de faire voir aux gens qu'il y a des critiques pour qui les lois de l'art n'existent pas ; qui ne jugent que d'après leur amour ou leur dégoût " écrit Valery Larbaud à Léon-Paul Fargue. L'aimable dilettante témoigne ainsi de son engagement: son retrait est une offensive. Affranchissons-nous, tel est le mot d'ordre, plus que jamais actuel, de cet amateur militant, que reprend Gérard Farasse dans son essai : Profi perdu. Les poêtes et romanciers du XXe siècle - Colette, Gombrowicz, Jaccottet, Larbaud, Michaux, Ponge, Saint-John Perse, Supervielle, Thomas - avec lesquels il dialogue, ne donnent-ils pas, chacun à sa façon, une leçon de liberté, en s'efforçant de ne pas écrir e à côté d'eux-mêmes ? Comme eux, le critique se doit de parler en son propre nom.
FORMAT
Livre broché
19.81 €
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Date de première publication du titre 1er janvier 1998
ISBN 9782859395360
EAN-13 9782859395360
Référence SLU090079-54
Nombre de pages de contenu principal 224
Format 14 x 24 x 0 cm
Poids 372 g

EMPREINTES
Baudelaire, Colette, Friedrich, Gombrowicz, Jaccottet, Larbaud, Mallarmé, Michaux, Ponge, Réda, Saint-John Perse, Supervielle, Thomas
par Gérard FARASSE

Empreintes
Profil perdu (Caspar David Friedrich)
Le veilleur de chagrins (Baudelaire)
Mallarmé pratique (Ponge)
Le sens de la désorientation (Michaux)
Gombrowicz énergumène
Portrait d'Henri Thomas en chiffonnier
Le texte enchanté (Colette)
A ce seul nom de nymphe (Larbaud)
Modeste contribution à la gloire de Monsieur Mouton (André Pieyre de Mandiargues)
Mots à découvert (Saint-John Perse)
Quelques preuves de l'existence de Supervielle
A Philippe Jaccottet
Ponge une fois pour toutes
Réda en trompe-l'oeil
La Tour Eiffel expliquée aux enfants

" Il est bon de faire voir aux gens qu'il y a des critiques pour qui les lois de l'art n'existent pas ; qui ne jugent que d'après leur amour ou leur dégoût " écrit Valery Larbaud à Léon-Paul Fargue. L'aimable dilettante témoigne ainsi de son engagement: son retrait est une offensive. Affranchissons-nous, tel est le mot d'ordre, plus que jamais actuel, de cet amateur militant, que reprend Gérard Farasse dans son essai : Profi perdu. Les poêtes et romanciers du XXe siècle - Colette, Gombrowicz, Jaccottet, Larbaud, Michaux, Ponge, Saint-John Perse, Supervielle, Thomas - avec lesquels il dialogue, ne donnent-ils pas, chacun à sa façon, une leçon de liberté, en s'efforçant de ne pas écrir e à côté d'eux-mêmes ? Comme eux, le critique se doit de parler en son propre nom.

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