Terrain, n° 58/mars 2012

Pourquoi coopérer
Revue
Terrain
Date de publication
12 mars 2012
Résumé
La coopération intervient à tous les niveaux du vivant, de la formation d'un génome à la constitution d'organismes multicellulaires. Mais les êtres humains sont l'unique espèce où on observe des coopérations fortes, régulières, diverses, risquées, étendues et parfois coûteuses, entre individus sans relations de parenté. Les notions de compétition et d'égoïsme chères aux théories de l'évolution et de l'économie classique ne suffisent pas à expliquer ce mode de relation. Aussi comprendre l'évolution de la coopération est devenu un défi scientifique pour les années à venir.
FORMAT
Livre broché
20.00 €
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ISSN 07605668
Date de première publication du titre 12 mars 2012
ISBN 9782735114283
EAN-13 9782735114283
Référence TE058-104
Nombre de pages de contenu principal 176
Format 21 x 27 x 1.5 cm
Poids 678 g

Joël Candau, " Pourquoi coopérer " ;

Monique Jeudy-Ballini, " Le parti pris de parenté. Un exemple mélanésien de coopération " ;

Morgan Jouvenet, " Nanosciences et nanotechnologie : une coopération obligée ? Expériences et sens politique des scientifiques " ;

Alpa Shah, " Éliminer la classe, la caste et l'indigénéité dans l'Inde maoïste " ;

Benoît Dubreuil, " Pourquoi la coopération ne fonctionne pas toujours. Confiance, motivation et sciences cognitives " ;

Emmanuel Grimaud, Stéphane Rennesson & Nicolas Césard, " Le scarabée conducteur. Le jeu du kwaang, entre vibration et coopération " ;

Véronique Servais, " Et pourtant ils coopèrent... Regard des sciences sociales sur la coopération animale ".

Repères

Jean-Luc Poueyto, " Un patrimoine culturel très discret : le cas des Manouches " ;

Cosmina Ghebaur, " Le non-public et la culture. Une étude de cas en banlieue ".

La coopération intervient à tous les niveaux du vivant, de la formation d'un génome à la constitution d'organismes multicellulaires. Mais les êtres humains sont l'unique espèce où on observe des coopérations fortes, régulières, diverses, risquées, étendues et parfois coûteuses, entre individus sans relations de parenté. Les notions de compétition et d'égoïsme chères aux théories de l'évolution et de l'économie classique ne suffisent pas à expliquer ce mode de relation. Aussi comprendre l'évolution de la coopération est devenu un défi scientifique pour les années à venir.

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