Correspondance Alexandre Vialatte – Henri Pourrat

Tome 9 : Le temps des chroniques (janvier 1952 – mai 1959)
Sylviane COYAULT,Agnès SPIQUEL
Résumé
Commencée en 1916, cette correspondance s'achève avec la mort de Pourrat, le 16 juillet 1959, à l'âge de 65 ans. Bien que Vialatte soit plus jeune, ils vivent tous deux ces années 1952-1959 sur un mode crépusculaire: ils se parlent beaucoup de maladies, de deuils, du temps qui passe. Ils s'inquiètent pour leurs proches: épouses et enfants qui deviennent adultes.Les lettres sont pleines des lieux où ils sont: Ambert et Le Vernet pour Henri Pourrat, grand marcheur attentif aux saisons ; pour Vialatte, Paris mais aussi les lieux — souvent auvergnats — où il quête une impossible sérénité.Pourrat met toutes ses forces dans la poursuite du grand œuvre, Le Trésor des Contes, dont il parvient à terminer les treize tomes ; ce qui ne l'empêche pas d'écrire quelques autres ouvrage ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
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Date de première publication du titre 3 mars 2022
ISBN 9782383770367
EAN-13 9782383770367
Référence 125616-37
Nombre de pages de contenu principal 324
Format 16 x 24 x 1.8 cm
Poids 631 g

Avant-propos

– Présentation

– Le Temps des chroniques (janvier 1952 – mai 1959)

– Annexe :
Alexandre Vialatte, " Henri Pourrat, Chronique des Grands Jardins " (24 juillet 1959)

Bibliographie d'Henri Pourrat (1932-1959)

Bibliographie d'Alexandre Vialatte (1932-1959)

Repères chronologiques

Illustrations

Index des noms de lieux

Index des noms de personnes

Index des œuvres

Index des revues ou journaux

Table des illustrations


Commencée en 1916, cette correspondance s'achève avec la mort de Pourrat, le 16 juillet 1959, à l'âge de 65 ans. Bien que Vialatte soit plus jeune, ils vivent tous deux ces années 1952-1959 sur un mode crépusculaire: ils se parlent beaucoup de maladies, de deuils, du temps qui passe. Ils s'inquiètent pour leurs proches: épouses et enfants qui deviennent adultes.Les lettres sont pleines des lieux où ils sont: Ambert et Le Vernet pour Henri Pourrat, grand marcheur attentif aux saisons ; pour Vialatte, Paris mais aussi les lieux — souvent auvergnats — où il quête une impossible sérénité.Pourrat met toutes ses forces dans la poursuite du grand œuvre, Le Trésor des Contes, dont il parvient à terminer les treize tomes ; ce qui ne l'empêche pas d'écrire quelques autres ouvrages, mais pas les Mémoires que son ami, pourtant, le presse d'écrire. Vialatte, quant à lui, s'éparpille et ne mène à bien aucun des romans commencés. Il gagne sa vie avec des traductions et des articles. Persuadé qu'il passe à côté de l'essentiel, il est pourtant en train d'expérimenter ce qui deviendra, même sous une forme fragmentée, son grand œuvre à lui: les chroniques, qu'il poursuivra jusqu'à sa mort, en 1971.Ce dernier volume de leur correspondance confirme que, pour l'un et l'autre, l'essentiel aura bien été la quête de l'écriture.

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