Toute explication de l'action met en jeu une régularité des conduites. On peut sans doute la rapporter à une machinerie sous-jacente, mais force est de convenir que les conduites humaines ne manifestent pas la "belle régularité" d'un mécanisme. Elles sont tout à la fois variables, indéterminées, adaptatrices et uniformes, standardisées. Comment rendre compte, à travers les approches de philosophes et de sociologues, de cette ambivalence ?
Toute explication de l'action met en jeu une régularité des conduites. On peut sans doute la rapporter à une machinerie sous-jacente, mais force est de convenir que les conduites humaines ne manifestent pas la "belle régularité" d'un mécanisme. Elles sont tout à la fois variables, indéterminées, adaptatrices et uniformes, standardisées. Comment rendre compte, à travers les approches de philosophes et de sociologues, de cette ambivalence ?