Ouvrage auquel ont contribué des historiens de la métallurgie et des historiens des forêts et qui se situe sur la longue durée (15e-19e siècles). La question des fers, dit-on couramment en France au 18e siècle, est la question des bois. À l'apogée de la sidérurgie classique, un haut fourneau et ses affineries consomment chaque année le produit de cent hectares de taillis. Les deux tiers du coût de production de la fonte et du fer sont imputables au combustible. Forges et forêts ont bel et bien partie liée.
Ouvrage auquel ont contribué des historiens de la métallurgie et des historiens des forêts et qui se situe sur la longue durée (15e-19e siècles). La question des fers, dit-on couramment en France au 18e siècle, est la question des bois. À l'apogée de la sidérurgie classique, un haut fourneau et ses affineries consomment chaque année le produit de cent hectares de taillis. Les deux tiers du coût de production de la fonte et du fer sont imputables au combustible. Forges et forêts ont bel et bien partie liée.