La crise, le risque et les réactions de l'épargnant : quelle grille d'interprétation ?
Des bulles immobilières qui se dégonflent et des bourses qui s'écroulent - Une récession générale et un chômage souvent en forte hausse - Réactions de l'épargnant : entre calcul et émotions (plan de l'étude)
Épargne et patrimoine : de fortes disparités entre pays et entre compatriotes
Richesse et nations - Des effets richesse qui pèsent différemment sur la consommation et la croissance des pays - Qui possède quoi ?
Comment la théorie économique explique-t-elle les comportements de l'épargnant ?
Séparer les préférences vis-à-vis du risque et du temps des perceptions du monde présent et à venir - Vers des modèles de choix plus réalistes mais plus complexes - Le débat relatif à la rationalité des choix patrimoniaux - La crise : un test grandeur nature de la rationalité de l'épargnant
Comment mesurer les anticipations et les préférences des épargnants français ?
Les données françaises du panel Pater - Les anticipations de prix et de revenus en mai 2007 et juin 2009 - Les mesures usuelles des préférences à l'égard du risque et du temps - Mesurer autrement les préférences : l'élaboration de " scores " synthétiques et ordinaux - Que nous apprennent les mesures des préférences des épargnants ? - Leçons provisoires pour la politique économique
Le ressenti de la crise : l'Allemagne aux antipodes des Etats-Unis ?
Des ménages allemands en majorité peu touchés par la crise ? - Les multiples segments de la population américaine affectés par la crise : propriétaires, actionnaires, chômeurs, (futurs) retraités
France : une situation intermédiaire entre l'Allemagne et les Etats-Unis
Les ménages français prennent moins de risque dans leurs choix financiers - Les Français ont-ils simplement adapté leurs comportements au nouvel environnement économique ou ont-ils également changé de préférences ?
Les effets de la crise sur les préférences de l'épargnant en France (et ailleurs)
Fragments d'expériences étrangères : Royaume-Uni et Allemagne - France : les mesures usuelles concluent à une moindre tolérance au risque - Scores : l'invariance statistique des préférences à l'égard du risque et du long terme - Impact de la crise sur les comportements, les préférences et les anticipations des épargnants : bilan de l'expérience française
Conclusions
Des anticipations volatiles qui expliquent une moindre prise de risque - Des préférences stables en France et ailleurs - Qu'est-ce qui détermine les préférences d'un individu à l'autre ?
Annexe
La supériorité des scores sur les autres mesures de préférence