Poésie et lyrique antiques

Laurent DUBOIS
Date de publication
1er janvier 1996
Résumé
Le présent recueil est consacré à une catégorie de textes grecs du premier millénaire avant J.-C. bien moins connus que ceux d'Homère et d'Hésiode, aux premières oeuvres que l'on regroupe sous le nom de poésie lyrique. Plusieurs articles sont dévolus à la lyrique chorale, qu'ont particulièrement illustrée Pindare et Bacchylide à l'époque classique, mais aussi, et avant eux, le poète Stésichore dont un fragment est apparu dans un papyrus de Lille en 1976. C'est aussi ce genre litéraire que l'on retrouve dans les choeurs des tragédies et des comédies classiques, morceaux d'intense émotion poétique, à la métrique raffinée, dans lesquels le choeur en chantant et en dansant commentait l'action conduite par les acteurs. L'autre intérêt de ce recueil réside dans la présence de ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
21.34 €
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Date de première publication du titre 1er janvier 1996
ISBN 9782865310685
EAN-13 9782865310685
Référence SLU090627-54
Nombre de pages de contenu principal 272
Format 16 x 24 x 0 cm
Poids 496 g
Le présent recueil est consacré à une catégorie de textes grecs du premier millénaire avant J.-C. bien moins connus que ceux d'Homère et d'Hésiode, aux premières oeuvres que l'on regroupe sous le nom de poésie lyrique. Plusieurs articles sont dévolus à la lyrique chorale, qu'ont particulièrement illustrée Pindare et Bacchylide à l'époque classique, mais aussi, et avant eux, le poète Stésichore dont un fragment est apparu dans un papyrus de Lille en 1976. C'est aussi ce genre litéraire que l'on retrouve dans les choeurs des tragédies et des comédies classiques, morceaux d'intense émotion poétique, à la métrique raffinée, dans lesquels le choeur en chantant et en dansant commentait l'action conduite par les acteurs. L'autre intérêt de ce recueil réside dans la présence de contributions qui traitent de l'influence de cette poésie archaïque à l'époque alexandrine où les écrivains truffaient leurs oeuvres de références plus ou moins avouées à leurs prédécesseurs. Plus tard, à l'époque impériale, les érudits ou les professeurs de rhétorique portèrent sur la poésie lyrique des jugements qui sont pour nous très précieux puisque toute une partie de ces oeuvres qu'ils pouvaient alors lire à Rome où dans les grandes villes de l'Empire ont pour nous complètement disparu.

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