Cahiers de philosophie de l'université de Caen, n° 45/2008

Réalisme et théories physiques
Ivahn SMADJA
Revue
Cahiers de philosophie de l'Université de Caen
Editeur
Presses universitaires de Caen
Date de publication
1er décembre 2008
Résumé
Le réalisme est-il mort ? Il y a plus de vingt ans, le philosophe des sciences Arthur Fine partait du constat abrupt de ce qui lui apparaissait comme une déroute du réalisme scientifique et engageait à dépasser les affrontements doctrinaux opposant réalistes et antiréalistes. Il prônait à l'égard de la science une voie médiane débarrassée des présupposés généraux et des interprétations globales.
FORMAT
Livre relié
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Actuellement Indisponible
ISSN 12826545
Crédit
Date de première publication du titre 1er décembre 2008
ISBN 9782841333325
EAN-13 9782841333325
Référence CPHIL045-45
Nombre de pages de contenu principal 272
Format 14 x 22 x 1.5 cm
Poids 344 g

R. Harré : " Mathématiques et machinerie : la physique comme exploration " ;

M. Bitbol : " Réalité donnée, réalité construite. À propos d'un argument de Searle " ;

P. Nabonnand : " Le conventionnalisme géométrique, une alternative radicale au réalisme spatial. Le contexte français du conventionnalisme géométrique de Poincaré " ;

S. Walter : " Henri Poincaré et l'espace-temps conventionnel " ;

I. Smadja : " Structure versus substance. Théories physiques et réalisme structural selon Russel " ;

A. Michel : " Remarques sur la mathématisation de la théorie du mouvement, entre réalisme et réflexivité " ;

J.J. Szczeciniarz : " Quelle réalité physique l'élaboration théorique mathématique permet-elle de discerner ? À partir de l'article de Hadamard : "Comment je n'ai pas

découvert la relativité" " ;

I. Smadja : "La construction logique de la variété espace-temps. Ordre, métrique, causalité " ;

M. Lachièze-Rey : " Réalisme relativiste " ;

R. Omnés : " Quelques remarques à propos du problème de la réalité ".

Le réalisme est-il mort ? Il y a plus de vingt ans, le philosophe des sciences Arthur Fine partait du constat abrupt de ce qui lui apparaissait comme une déroute du réalisme scientifique et engageait à dépasser les affrontements doctrinaux opposant réalistes et antiréalistes. Il prônait à l'égard de la science une voie médiane débarrassée des présupposés généraux et des interprétations globales.

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