Que signifie l'acte de comparer pour les sciences sociales ?Dans ce volume, la démarche comparative est vue comme un éloge de la pluralité : elle appuie une dynamique de singularisation ou, au contraire, de généralisation. Elle confronte des objets, des sociétés, des processus éloignés dans le temps ou dans l'espace. Elle permet au chercheur de progresser grâce à un travail incessant de rapprochements et de distinctions.
Première partie. L'esprit comparatiste Jérôme Baschet - Un Moyen Âge mondialisé ? Remarques sur les ressorts précoces de la dynamique occidentale Bruno Karsenti -Structuralisme et religion
Deuxième partie. L'outillage comparatiste Frédéric Joulian - Comparer l'incomparable : des vertus et des limites de la comparaison hommes/primates Paolo Napoli - Le droit, l'histoire, la comparaison Liliane Hilaire-Pérez - Une histoire comparée des patrimoines techniques. Collections et dépôts d'inventions en France et en Angleterre aux xviiie et xixe siècles Gisèle Sapiro - Comparaison et échanges culturels. Le cas des traductions
Troisième partie. L'acte comparatiste Stéphane Breton - Le regard Valérie Gelézeau - La Corée dans les sciences sociales. Les géométries de la comparaison à l'épreuve d'un objet dédoublé Caterina Guenzi - Manières de comparer. Regards indiens sur la compatibilité entre les savoirs
Que signifie l'acte de comparer pour les sciences sociales ?Dans ce volume, la démarche comparative est vue comme un éloge de la pluralité : elle appuie une dynamique de singularisation ou, au contraire, de généralisation. Elle confronte des objets, des sociétés, des processus éloignés dans le temps ou dans l'espace. Elle permet au chercheur de progresser grâce à un travail incessant de rapprochements et de distinctions.