En 1846 paraissait à Istanbul la traduction turque du Livre du Soudan, œuvre d'un cheikh tunisien nommé Muhammad, fils de Alî, fils de Zayn al-bidîn. Son récit fascine encore à travers la présente traduction qui, par diverses transpositions de style et de niveaux de langage, tente d'en restituer fidèlement le ton savoureux.
En 1846 paraissait à Istanbul la traduction turque du Livre du Soudan, œuvre d'un cheikh tunisien nommé Muhammad, fils de Alî, fils de Zayn al-bidîn. Son récit fascine encore à travers la présente traduction qui, par diverses transpositions de style et de niveaux de langage, tente d'en restituer fidèlement le ton savoureux.