Tolède entre fortune et déclin, 1530-1640

Julian MONTEMAYOR
Date de publication
1er janvier 1996
Résumé
Fruit de plusieurs années de recherches, cet ouvrage nous présente l'une des villes les plus importantes de l'Espagne du Siècle d'or, la deuxième du royaume de Castille après Séville, en 1580. Il la saisit tout entière au meilleur de son temps, vers le milieu du 16e siècle, et l'abandonne cent ans plus tard lorsque la décadence s'affirme irrémédiablement. Il nous livre les institutions et les hommes, le jeu complexe des regidores et des jurados ; il souligne la puissance exceptionnelle de l'Église tolédane (archevêque et chapitre cathédral), analyse l'activité des marchands et des artisans, ausculte les pulsions des campagnes voisines, observe les marginaux de tout poil, les spectacles et les fêtes. C'est la Tolède du Greco qui prend forme et relief.
FORMAT
Livre broché
15.00 €
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Date de première publication du titre 1er janvier 1996
ISBN 9782910016517
EAN-13 9782910016517
Référence 006180-29
Nombre de pages de contenu principal 522
Format 18 x 25 x 3 cm
Poids 1120 g

Première partie : la ville impériale

Chapitre 1 : Gloria de Espana y luz de sus ciudades
Chapitre 2 : Le cadre urbain
Chapitre 3 : Les exigences de la ville
Chapitre 4 : L'espace des Tolédans

Deuxième partie : la fortune et ses aléa

Chapitre 5 : Richesses d'hommes
Chapitre 6 : Les fruits de la terre
Chapitre 7 : Le monde de l'artisanat
Chapitre 8 : Puissance et faiblesse de la marchandise tolédane
Chapitre 9 : Un déclin exemplaire?

Troisième partie : l'enjeu tolédan

Chapitre 10 : Les champs du pouvoir, à la ville et dans la "terre"
Chapitre 11 : Vivre ensemble
Chapitre 12 : Tolède se montre

Fruit de plusieurs années de recherches, cet ouvrage nous présente l'une des villes les plus importantes de l'Espagne du Siècle d'or, la deuxième du royaume de Castille après Séville, en 1580. Il la saisit tout entière au meilleur de son temps, vers le milieu du 16e siècle, et l'abandonne cent ans plus tard lorsque la décadence s'affirme irrémédiablement. Il nous livre les institutions et les hommes, le jeu complexe des regidores et des jurados ; il souligne la puissance exceptionnelle de l'Église tolédane (archevêque et chapitre cathédral), analyse l'activité des marchands et des artisans, ausculte les pulsions des campagnes voisines, observe les marginaux de tout poil, les spectacles et les fêtes. C'est la Tolède du Greco qui prend forme et relief.

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