DOSTOIEVSKI ET DIEU. LA MORSURE DU DIVIN

la morsure du divin
Louis ALLAIN
Date de publication
1er janvier 1982
Résumé
Livre inscrit au programme ReLire.Il y a cent ans mourait Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A l'occasion de ce centenaire, il est apparu opportun de tenter de faire le point sur l'aspect de sa personnalité qui demeure le plus controversé de tous: sa foi, sa conception du Christ et de Dieu, sa relation au divin.Pour le français Olivier Clément, "le Christ qui se révèle à Dostoïevski est porté jusqu'à lui par une tradition autrement profonde: celle du christianisme oriental, attesté par la paternité libératrice des startsi". A l'opposé, le scénariste et romancier soviétique Friedrich Gorenstein, auteur du "Lesedrama" Discussion sur Dostoïevski, ne voit dans l'écriture de Fiodor Mikhaïlovitch que l'expression d'un "athéisme nationaliste actif".Qui a raison? Qui a tort? L'a ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
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Date de première publication du titre 1er janvier 1982
ISBN 9782859391867
EAN-13 9782859391867
Référence SLU090384-54
Nombre de pages de contenu principal 120
Format 16 x 24 x 0 cm
Poids 208 g
Livre inscrit au programme ReLire.Il y a cent ans mourait Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski. A l'occasion de ce centenaire, il est apparu opportun de tenter de faire le point sur l'aspect de sa personnalité qui demeure le plus controversé de tous: sa foi, sa conception du Christ et de Dieu, sa relation au divin.Pour le français Olivier Clément, "le Christ qui se révèle à Dostoïevski est porté jusqu'à lui par une tradition autrement profonde: celle du christianisme oriental, attesté par la paternité libératrice des startsi". A l'opposé, le scénariste et romancier soviétique Friedrich Gorenstein, auteur du "Lesedrama" Discussion sur Dostoïevski, ne voit dans l'écriture de Fiodor Mikhaïlovitch que l'expression d'un "athéisme nationaliste actif".Qui a raison? Qui a tort? L'auteur du présent ouvrage s'est efforcé de recouper des textes de Dostoïevski, parfois de publication très récente, appartenant à tous les registres (carnets intimes, correspondance, écrits publicistes, nouvelles, romans) et d'apporter ses propres éléments de réponse, tout en proposant au lecteur, comme aimait à le faire Fiodor Mikhaïlovitch, de développer lui-même en pointillé certaines de ses conclusions implicites.

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