Aux éclats de rires des spectateurs à la vision des séries burlesques de Jean Durand au début du siècle répond depuis le silence de l'histoire. Ce troisième grand cinéaste, après Louis Feuillade et Léonce Perret, qui a fait les heures riches de la Maison Gaumont, de la firme Lux ou de Nalpas, demeure encore inconnu. L'historien Francis Lacassin comble ici un grand vide de l'histoire de la discipline grâce à une recherche de plus de quarante ans sur l'œuvre de Durand, réalisateur de quelque deux cent trente films. Et une langue limpide en rapporte toute la vie.
Aux éclats de rires des spectateurs à la vision des séries burlesques de Jean Durand au début du siècle répond depuis le silence de l'histoire. Ce troisième grand cinéaste, après Louis Feuillade et Léonce Perret, qui a fait les heures riches de la Maison Gaumont, de la firme Lux ou de Nalpas, demeure encore inconnu. L'historien Francis Lacassin comble ici un grand vide de l'histoire de la discipline grâce à une recherche de plus de quarante ans sur l'œuvre de Durand, réalisateur de quelque deux cent trente films. Et une langue limpide en rapporte toute la vie.