Du XVIIe au XIXe siècle, l'histoire est à l'égal de la tragédie, le genre noble par excellence. Les historiens sont conscients que la vérité historique ne peut s'imposer que si elle trouve une expression à sa mesure, une expression qui doit sonner juste. Cet ouvrage interroge les choix d'écriture : les grands traités du XVIIe siècle (La Mothe Le Vayer, Rapin), les harangues, les biographies, les histoires de Saint-Simon, La Harpe, Balzac, Tocqueville ou Michelet rappellent combien l'histoire avait alors à voir avec la littérature.
Du XVIIe au XIXe siècle, l'histoire est à l'égal de la tragédie, le genre noble par excellence. Les historiens sont conscients que la vérité historique ne peut s'imposer que si elle trouve une expression à sa mesure, une expression qui doit sonner juste. Cet ouvrage interroge les choix d'écriture : les grands traités du XVIIe siècle (La Mothe Le Vayer, Rapin), les harangues, les biographies, les histoires de Saint-Simon, La Harpe, Balzac, Tocqueville ou Michelet rappellent combien l'histoire avait alors à voir avec la littérature.