Dans un jeu de questions-réponses, Alexis Tiouka raconte les luttes qui animent les peuples amérindiens de Guyane depuis les années 1980, et dont il a été lui-même acteur.Il retrace le parcours de la première génération de leaders du mouvement autochtone guyanais, passée par les " homes indiens " et l'école française. Du grand rassemblement des Amérindiens de Guyane en 1984 aux revendications pour la terre et aux négociations internationales : quatre décennies de luttes ont façonné le mouvement autochtone guyanais.Pourtant, 10 ans après l'adoption par les Nations Unis de la Déclaration des droits des peuples autochtones, la France a toujours tendance à oublier qu'en faisant des Amérindiens des citoyens français, elle inscrivait de fait la question de la diversité au sei ...
Lire la suite
Préface Flécher l'œil, de Jean-Christophe Goddard, philosophe
Préambule Être amérindien 1984, le grand rassemblement Le droit à la terre Luttes internationales des Autochtones Amérindiens de Guyane française
Postface Juriste autochtone : le droit au service des peuples, de Philippe Karpe, juriste
Annexes 1. Texte du discours prononcé par Félix Tiouka en 1984 à Awala 2. " Le mouvement amérindien, de la fête au mouvement culturel ", texte de Pierre et Françoise Grenand publié dans la revue Ethnies, 1985 3. Entretien avec Thomas Appolinaire publié dans la revue Nitassinan, 1985
Pour aller plus loin Bibliographie indicative
Dans un jeu de questions-réponses, Alexis Tiouka raconte les luttes qui animent les peuples amérindiens de Guyane depuis les années 1980, et dont il a été lui-même acteur.Il retrace le parcours de la première génération de leaders du mouvement autochtone guyanais, passée par les " homes indiens " et l'école française. Du grand rassemblement des Amérindiens de Guyane en 1984 aux revendications pour la terre et aux négociations internationales : quatre décennies de luttes ont façonné le mouvement autochtone guyanais.Pourtant, 10 ans après l'adoption par les Nations Unis de la Déclaration des droits des peuples autochtones, la France a toujours tendance à oublier qu'en faisant des Amérindiens des citoyens français, elle inscrivait de fait la question de la diversité au sein de la République.