@page { size: 21cm 29.7cm; margin: 2cm }p { widows: 2; color: #000000; line-height: 115%; orphans: 2; margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; background: transparent }p.western { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: fr-FR }p.cjk { font-size: 12pt; font-family: "MS Mincho", "MS ??", monospace }p.ctl { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: ar-SA }a:link { color: #0000ff; text-decoration: underline }La pauvreté peut se définir comme un état susceptible d'évoluer au gré de la conjoncture économique comme des accidents de la vie qui peuvent rompre un équilibre souvent fragile et faire basculer des ménages dans la pauvreté. Pour permettre d'en sortir et de s'en sortir, l'éducation des enfants et des jeunes en état ...
Lire la suite
Introduction par Hélène BUISSON-FENET, directrice de recherche au CNRS, laboratoire Triangle de l'ENS de Lyon
Le point de vue des chercheurs
Maïtena ARMAGNAGUE professeure associée au Département des Sciences de l'Éducation de l'Université de Genève, Vivre la grande pauvreté dans l'enfance et la migration
Tom CHEVALIER, chargé de recherche CNRS au laboratoire Arènes, Sciences Po Rennes, La double face de la précarité étudiante
Benjamin DENECHEAU, maître de conférences en Sciences de l'éducation, membre du laboratoire LIRTES de l'Université Paris-Est Créteil, École et pauvreté : l'ambivalence de l'intervention de l'État, entre invisibilisation et imbrication des difficultés des familles
Le point de vue des praticiens
Marie-Aleth GRARD, présidente d'ATD Quart Monde, " Tout homme porte en lui une valeur fondamentale et inaliénable qui fait sa dignité d'homme "
Laurence FACCHI, Inspectrice de l'éducation nationale, académie de Lyon, " Allo, j'ai deux enfants qui viennent d'arriver en retard à l'école, ils sont complètement trempés, qu'est-ce que je dois faire ? "
Thibaut MAINVILLE, adjoint à l'IA-DASEN du Rhône, académie de Lyon, Vers un pilotage partagé entre éducation, action sociale, santé, collectivités
Réagir ensemble
Conclusion par Jean-Paul DELAHAYE, IGESR honoraire et Régis GUYON, directeur adjoint de l'Institut français de l'éducation de l'ENS de Lyon
Bibliographie
@page { size: 21cm 29.7cm; margin: 2cm }p { widows: 2; color: #000000; line-height: 115%; orphans: 2; margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; background: transparent }p.western { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: fr-FR }p.cjk { font-size: 12pt; font-family: "MS Mincho", "MS ??", monospace }p.ctl { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: ar-SA }a:link { color: #0000ff; text-decoration: underline }La pauvreté peut se définir comme un état susceptible d'évoluer au gré de la conjoncture économique comme des accidents de la vie qui peuvent rompre un équilibre souvent fragile et faire basculer des ménages dans la pauvreté. Pour permettre d'en sortir et de s'en sortir, l'éducation des enfants et des jeunes en état de pauvreté doit se développer malgré la pauvreté. Suffit-il dès lors d'accéder à un espace protégé et dédié pour laisser la pauvreté à la porte de l'école et se consacrer aux apprentissages? Ou faut-il que l'accompagnement scolaire se préoccupe des conditions matérielles d'acquisition, que les politiques éducatives s'invitent à la cantine, dans certaines interventions sanitaires ou dans l'accompagnement en séjour-vacances? Peut-on parler d'un " seuil de pauvreté scolaire " comme on parle d'un pourcentage du niveau de vie médian pour définir le seuil de pauvreté monétaire? Avec ces 11e Entretiens Ferdinand Buisson, nous reviendrons donc sur ce poids des origines sociales sur les destins scolaires, sur la maltraitance institutionnelle dont sont victimes les plus précaires, sur la situation singulière des élèves allophones et leurs familles, mais aussi sur la capacité des professionnels de l'éducation à mettre en œuvre des dispositifs et des pratiques permettant aux élèves de trouver leur voie pour s'en sortir.Ont contribué à cet ouvrage: @page { size: 21cm 29.7cm; margin: 2cm }p { widows: 2; color: #000000; line-height: 115%; orphans: 2; margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; background: transparent }p.western { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: fr-FR }p.cjk { font-size: 12pt; font-family: "MS Mincho", "MS ??", monospace }p.ctl { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: ar-SA }a:link { color: #0000ff; text-decoration: underline }Maïtena ARMAGNAGUE, @page { size: 21cm 29.7cm; margin: 2cm }p { widows: 2; color: #000000; line-height: 115%; orphans: 2; margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; background: transparent }p.western { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: fr-FR }p.cjk { font-size: 12pt; font-family: "MS Mincho", "MS ??", monospace }p.ctl { font-family: "Times New Roman", serif; font-size: 12pt; so-language: ar-SA }a:link { color: #0000ff; text-decoration: underline }Tom CHEVALIER, Jean-Paul DELAHAYE, Benjamin DENECHEAU, Marie-Aleth GRARD, Laurence FACCHI et Thibaut MAINVILLE