À la Libération, l'État français réinvestit son rôle de promoteur des arts. Armé de son bureau des Travaux d'art – fondu dans le service de la Création artistique dû à André Malraux –, il commande, entre 1945 et 1965, plus de 4 000 œuvres à des peintres et sculpteurs, et en achète plus de 11 000.
À la Libération, l'État français réinvestit son rôle de promoteur des arts. Armé de son bureau des Travaux d'art – fondu dans le service de la Création artistique dû à André Malraux –, il commande, entre 1945 et 1965, plus de 4 000 œuvres à des peintres et sculpteurs, et en achète plus de 11 000.