Durant les dernières décennies du XXe siècle, la guerre des sexes a continué d'agiter les étendards, l'affirmation de l'identité à agiter les esprits, pour le plus grand profit d'un théâtre hanté par le mythe et le social. La question du genre a été très présente dans le théâtre anglophone, qu'il s'agisse d'auteurs déjà considérés comme des classiques du théâtre américain (O'Neil, Miller), et britannique (Bond), ou d'un théâtre de la marge (Berkoff) faisant place à l'expression de minorités diverses (" gays ", communauté noire).
Durant les dernières décennies du XXe siècle, la guerre des sexes a continué d'agiter les étendards, l'affirmation de l'identité à agiter les esprits, pour le plus grand profit d'un théâtre hanté par le mythe et le social. La question du genre a été très présente dans le théâtre anglophone, qu'il s'agisse d'auteurs déjà considérés comme des classiques du théâtre américain (O'Neil, Miller), et britannique (Bond), ou d'un théâtre de la marge (Berkoff) faisant place à l'expression de minorités diverses (" gays ", communauté noire).