Pufendorf (1632-1694), l'un des maîtres de l'École du droit naturel et des gens et de la philosophie juridique et politique classique, se situe dans la voie ouverte par Grotius et n'est nullement, ainsi qu'a voulu le faire croire Leibniz, un penseur de second ordre. Burlamaqui, Diderot et Rousseau l'ont pratiqué, surtout à travers la traduction commentaire que donna Barbeyrac de son plus grand ouvrage, le Jus naturae et gentium octo libri, publié à Lund en 1672, qui est un traité de droit complet qui expose méthodiquement une doctrine de sciences politiques.
Pufendorf (1632-1694), l'un des maîtres de l'École du droit naturel et des gens et de la philosophie juridique et politique classique, se situe dans la voie ouverte par Grotius et n'est nullement, ainsi qu'a voulu le faire croire Leibniz, un penseur de second ordre. Burlamaqui, Diderot et Rousseau l'ont pratiqué, surtout à travers la traduction commentaire que donna Barbeyrac de son plus grand ouvrage, le Jus naturae et gentium octo libri, publié à Lund en 1672, qui est un traité de droit complet qui expose méthodiquement une doctrine de sciences politiques.