Les scènes contemporaines offrent depuis une trentaine d'années une présence forte de l'objet. Celui-ci, sous les auspices de cette " réalité du rang le plus bas " dont Tadeusz Kantor fut en son temps l'un des promoteurs, s'impose même dans certaines pratiques comme le fondement du travail théâtral. Sans valeur marchande et esthétique, cet objet arraché à la réalité a pour partie remplacé l'accessoire de théâtre traditionnel. Du Théâtre du Radeau à la compagnie Deschamps-Makeïeff en passant par les 26 000 couverts, Jean-Luc Mattéoli en étudie les mises en scène.
Les scènes contemporaines offrent depuis une trentaine d'années une présence forte de l'objet. Celui-ci, sous les auspices de cette " réalité du rang le plus bas " dont Tadeusz Kantor fut en son temps l'un des promoteurs, s'impose même dans certaines pratiques comme le fondement du travail théâtral. Sans valeur marchande et esthétique, cet objet arraché à la réalité a pour partie remplacé l'accessoire de théâtre traditionnel. Du Théâtre du Radeau à la compagnie Deschamps-Makeïeff en passant par les 26 000 couverts, Jean-Luc Mattéoli en étudie les mises en scène.