Mourir délibérément ?

Pour une sortie réfléchie de la vie
François GALICHET
Collection
Essais
Date de publication
31 mars 2014
Résumé
Que signifie « mourir »? Peut-on vraiment vouloir mourir? Y a-t-il un juste moment pour mourir? Est-il possible d'aimer quelqu'un au point de l’aider à mourir? Quels critères permettent de juger une vie digne ou indigne d’être vécue? Questions proprement philosophiques qui ne sont pas souvent abordées au fil des discussions sur le sujet. Et pourtant, elles préoccupent tous ceux qui, de par leur âge ou leur situation, se rapprochent du terme de leur existence. Il est tenté ici de les éclairer en s’appuyant sur la pensée de grands auteurs – Pascal, Spinoza, Kant, Nietzsche, Levinas notamment. La question de la mort volontaire révèle des aspects surprenants, des contradictions significatives. La décision de quitter une vie devenue intolérable ne relève ni du suicide, ni de ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
20 €
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Actuellement Indisponible
Date de première publication du titre 2014
ISBN 9782868205063
EAN-13 9782868205063
Référence 117197-18
Nombre de pages de contenu principal 184
Format 15 x 22 x 1.2 cm
Poids 298 g

Introduction

I – Le mythe de la passivité de la mort

II – { L'amour à mort }

III – La valeur de la mort

IV – Mourir à temps ?

V – Qui veut mourir ?

VI – Peut-on vouloir mourir ?

VII – Mort délibérée et immortalité biologique

VIII – L' éthique du vouloir-mourir

Conclusion

Bibliographie

Que signifie « mourir »? Peut-on vraiment vouloir mourir? Y a-t-il un juste moment pour mourir? Est-il possible d'aimer quelqu'un au point de l’aider à mourir? Quels critères permettent de juger une vie digne ou indigne d’être vécue? Questions proprement philosophiques qui ne sont pas souvent abordées au fil des discussions sur le sujet. Et pourtant, elles préoccupent tous ceux qui, de par leur âge ou leur situation, se rapprochent du terme de leur existence. Il est tenté ici de les éclairer en s’appuyant sur la pensée de grands auteurs – Pascal, Spinoza, Kant, Nietzsche, Levinas notamment. La question de la mort volontaire révèle des aspects surprenants, des contradictions significatives. La décision de quitter une vie devenue intolérable ne relève ni du suicide, ni de l’euthanasie au sens habituel de ces termes. Il s’agit plutôt d’une « mort délibérée » qui implique réflexion et jugement. En ce sens, elle peut devenir le principe d’une éthique qui aide à vivre.

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