Il évoque ses échanges, ses voyages et ses rencontres marquantes – de Greimas à Elias, en passant par Dumézil et Derrida -, qui nourissent sa réflexion sur les rapports entre le pouvoir et sa mise en représentation. Fidèle à l'ouverture intellectuelle qu'il incarna, il confronte ces interrogations aussi bien à la peinture classique et moderne qu'à la démocratie contemporaine et à la culture du divertissement.
Préface de Pierre Antoine Fabre Premier entretien du 13 avril 1992 Deuxième entretien du 14 avril 1992 Troisième entretien du 15 avril 1992 Quatrième entretien du 16 avril 1992 Cinquième et dernier entretien du 17 avril 1992
Il évoque ses échanges, ses voyages et ses rencontres marquantes – de Greimas à Elias, en passant par Dumézil et Derrida -, qui nourissent sa réflexion sur les rapports entre le pouvoir et sa mise en représentation. Fidèle à l'ouverture intellectuelle qu'il incarna, il confronte ces interrogations aussi bien à la peinture classique et moderne qu'à la démocratie contemporaine et à la culture du divertissement.