Cet ouvrage engage une réflexion sur la critique et l'histoire de l'art entre 1880 et 1914, prenant appui sur l'œuvre de Roger Marx dont la carrière renvoie à la question de l'art social : l'art à l'école, le solidarisme, le mobilier, l'affiche et l'habitation à bon marché. Les contributions abordent également la critique émotionnelle issue du milieu nancéien, l'impact de l'affaire Dreyfus, le paysage idéaliste, la sculpture et la peinture monumentales, l'ouverture à l'Orient ou le cubisme. L'ouvrage souligne au passage l'importance des revues comme la Gazette des Beaux-Arts, le Mercure de France ou Art et décoration et se penche sur certains réseaux (le cercle méconnu des Têtes de bois). Avec le soutien de l'Institut national d'histoire de l'art.
Cet ouvrage engage une réflexion sur la critique et l'histoire de l'art entre 1880 et 1914, prenant appui sur l'œuvre de Roger Marx dont la carrière renvoie à la question de l'art social : l'art à l'école, le solidarisme, le mobilier, l'affiche et l'habitation à bon marché. Les contributions abordent également la critique émotionnelle issue du milieu nancéien, l'impact de l'affaire Dreyfus, le paysage idéaliste, la sculpture et la peinture monumentales, l'ouverture à l'Orient ou le cubisme. L'ouvrage souligne au passage l'importance des revues comme la Gazette des Beaux-Arts, le Mercure de France ou Art et décoration et se penche sur certains réseaux (le cercle méconnu des Têtes de bois). Avec le soutien de l'Institut national d'histoire de l'art.