Les frères Goncourt sont mal aimés. Leurs romans traînent encore, plus de cent ans après, les anathèmes d'une presse hostile à leur Suvre rénovatrice autant qu'à leur comportement hautain d'aristocrates exigeants entrés en littérature. A défaut de sympathie on leur doit beaucoup d'intérêt et une certaine gratitude, ce que plaide Michel Caffier.
Les frères Goncourt sont mal aimés. Leurs romans traînent encore, plus de cent ans après, les anathèmes d'une presse hostile à leur Suvre rénovatrice autant qu'à leur comportement hautain d'aristocrates exigeants entrés en littérature. A défaut de sympathie on leur doit beaucoup d'intérêt et une certaine gratitude, ce que plaide Michel Caffier.