Lectures de Paul Éluard

Capitale de la Douleur
Benoît CONORT
Collection
Didact Français
Date de publication
16 décembre 2013
Résumé
Capitale de la Douleur est sans doute le premier volume important de Paul Éluard, et l'un des livres de poésie les plus lus au vingtième siècle (quatrième vente de la collection Poésie/ Gallimard). il a donc joué un rôle important dans la constitution de la sensibilité poétique au siècle dernier, et influencé nombre de poètes contemporains. Pourtant il n'est pas aisé à lire. Construction déroutante, images souvent " évidentes " mais cependant " inexplicables ". Elles imposent leur originalité à un lecteur toujours séduit par ce jeu de la transparence et de l'opacité. Embarqué dans une écriture à nulle autre pareille, qui allie la beauté à la simplicité, il est confronté à l'énigme aussi bien qu'au mystère d'une création où les deux maîtres-mots de l'œuvre éluardienne se ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
16.00 €
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Date de première publication du titre 16 décembre 2013
ISBN 9782753528147
EAN-13 9782753528147
Référence 116761-53
Nombre de pages de contenu principal 234
Format 15.5 x 24 x 1.2 cm
Poids 368 g
  • Partie I: Entours et approches
  • Partie II: La langue, la voix, la parole
  • Partie III: Etudes
Capitale de la Douleur est sans doute le premier volume important de Paul Éluard, et l'un des livres de poésie les plus lus au vingtième siècle (quatrième vente de la collection Poésie/ Gallimard). il a donc joué un rôle important dans la constitution de la sensibilité poétique au siècle dernier, et influencé nombre de poètes contemporains. Pourtant il n'est pas aisé à lire. Construction déroutante, images souvent " évidentes " mais cependant " inexplicables ". Elles imposent leur originalité à un lecteur toujours séduit par ce jeu de la transparence et de l'opacité. Embarqué dans une écriture à nulle autre pareille, qui allie la beauté à la simplicité, il est confronté à l'énigme aussi bien qu'au mystère d'une création où les deux maîtres-mots de l'œuvre éluardienne semblent en crise: l'amour et la poésie. C'est à cette crise mise en " œuvre ", à cette dialectique de l'espoir et du désespoir, que Capitale de la Douleur doit son pouvoir enchanteur. Et laisser alors la parole à son ami Breton: " plus encore que le choix que Paul Eluard impose à tous et qui est celui, merveilleux, des mots qu'il assemble, dans l'ordre où il les assemble – choix qui s'exerce d'ailleurs à travers lui et non, à proprement parler, qu'il exerce – je m'en voudrais, moi, son ami, de ne pas louer seulement et sans mesure en lui les vastes, les singuliers, les brusques, les profonds, les splendides, les déchirants mouvements du cœur. "

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