L'apprentissage des langues remonte à la Monarchie de Juillet où, pour la première fois, fut dispensé dans les collèges royaux un enseignement de l'anglais et surtout de l'allemand. Au-delà des rhétoriques des ministères, des bonnes intentions pédagogiques et des programmes affichés, l'histoire sociale et culturelle des maîtres de langues, fondée sur l'analyse de leurs lettres et des dossiers personnels, ouvre une voie inédite pour mieux comprendre, dans la longue durée, les échecs et quelques succès de l'enseignement des langues en France.
L'apprentissage des langues remonte à la Monarchie de Juillet où, pour la première fois, fut dispensé dans les collèges royaux un enseignement de l'anglais et surtout de l'allemand. Au-delà des rhétoriques des ministères, des bonnes intentions pédagogiques et des programmes affichés, l'histoire sociale et culturelle des maîtres de langues, fondée sur l'analyse de leurs lettres et des dossiers personnels, ouvre une voie inédite pour mieux comprendre, dans la longue durée, les échecs et quelques succès de l'enseignement des langues en France.