L'épigraphie, ou étude des inscriptions, n'est pas une simple science auxiliaire que l'historien appellerait à la rescousse faute de mieux, mais une des sources vives de l'histoire ancienne. Si les découvertes en ce domaine viennent enrichir prioritairement l'histoire des institutions civiles et religieuses, il ne faudrait surtout pas croire qu'elles ne contribuent en rien à combler les énormes lacunes de l'histoire politique, économique et sociale. Et rien ne serait plus faux que d'imaginer que l'épigraphie n'a plus rien à apporter quand il s'agit de grandes cités comme Sparte, Thèbes et surtout Athènes.Ce livre, initialement publié sous le même titre en 2005 en partenariat avec Fayard, est désormais commercialisé par le Collège de France sous un nouvel ISBN.
L'épigraphie, ou étude des inscriptions, n'est pas une simple science auxiliaire que l'historien appellerait à la rescousse faute de mieux, mais une des sources vives de l'histoire ancienne. Si les découvertes en ce domaine viennent enrichir prioritairement l'histoire des institutions civiles et religieuses, il ne faudrait surtout pas croire qu'elles ne contribuent en rien à combler les énormes lacunes de l'histoire politique, économique et sociale. Et rien ne serait plus faux que d'imaginer que l'épigraphie n'a plus rien à apporter quand il s'agit de grandes cités comme Sparte, Thèbes et surtout Athènes.Ce livre, initialement publié sous le même titre en 2005 en partenariat avec Fayard, est désormais commercialisé par le Collège de France sous un nouvel ISBN.