La lecture est plus que jamais au cœur des paradoxes : jadis réservée à quelques happy few, elle est devenue commune, usuelle ou banale. Rares sont les personnes qui déclarent l'aimer plus que tout alors que la plupart des activités imposent de plonger dans des textes. Après le livre, le web invite à parcourir sans fin des millions de pages que personne n'aurait pu espérer découvrir. Parallèlement, les études alarmistes sur la baisse des pratiques culturelles classiques se multiplient, annonçant la disparition prochaine des lecteurs passionnés, amoureux des lettres et sciences humaines.
La lecture est plus que jamais au cœur des paradoxes : jadis réservée à quelques happy few, elle est devenue commune, usuelle ou banale. Rares sont les personnes qui déclarent l'aimer plus que tout alors que la plupart des activités imposent de plonger dans des textes. Après le livre, le web invite à parcourir sans fin des millions de pages que personne n'aurait pu espérer découvrir. Parallèlement, les études alarmistes sur la baisse des pratiques culturelles classiques se multiplient, annonçant la disparition prochaine des lecteurs passionnés, amoureux des lettres et sciences humaines.