Comment penser la contradiction qui fait de chaque œuvre un objet d'études ou de contemplation et en même temps une aventure chèrement payée et toujours risquée ? Comment penser l'œuvre littéraire principalement au sein de sa propre fragilité : de cette fragilité qu'elle semble dépasser mais aussi conserver en elle et même reconduire parmi nous, ne serait-ce que parce qu'elle se trouve sans cesse suspendue à nos lectures, c'est-à-dire à nos ferveurs, nos humeurs, nos pensées et même nos trahisons ?
Comment penser la contradiction qui fait de chaque œuvre un objet d'études ou de contemplation et en même temps une aventure chèrement payée et toujours risquée ? Comment penser l'œuvre littéraire principalement au sein de sa propre fragilité : de cette fragilité qu'elle semble dépasser mais aussi conserver en elle et même reconduire parmi nous, ne serait-ce que parce qu'elle se trouve sans cesse suspendue à nos lectures, c'est-à-dire à nos ferveurs, nos humeurs, nos pensées et même nos trahisons ?