La crise ne saurait être un phénomène permanent, une maladie chronique, l'excuse métaphysique de tous les maux présents et à venir. Sous ses formes aiguës, elle admet de multiples acceptions, médicale, existentielle, religieuse, historique, économique. La civilisation avance de crise en crise, pensait-on, avant que la contestation du progrès et de la raison elle-même n'imposent des relectures de notre histoire dès la fin du XVIIe sicèle. A partir de grandes figures de la littérature et de la philosophie nous suivons ici le cheminement et les mode d'expression de la crise, des Lumières à la méditation d'Auschwitz, quand la défiguration de l'homme trouble l'image de Dieu et ne laisse d'autre fondement à la civilisation que la ratiocination économique.
La crise ne saurait être un phénomène permanent, une maladie chronique, l'excuse métaphysique de tous les maux présents et à venir. Sous ses formes aiguës, elle admet de multiples acceptions, médicale, existentielle, religieuse, historique, économique. La civilisation avance de crise en crise, pensait-on, avant que la contestation du progrès et de la raison elle-même n'imposent des relectures de notre histoire dès la fin du XVIIe sicèle. A partir de grandes figures de la littérature et de la philosophie nous suivons ici le cheminement et les mode d'expression de la crise, des Lumières à la méditation d'Auschwitz, quand la défiguration de l'homme trouble l'image de Dieu et ne laisse d'autre fondement à la civilisation que la ratiocination économique.