L'ouvrage commun des docteurs en droit est une initiative portée par Doc PUBLICATION et les Editons de l'immatériel, grâce au soutien l'Associaton Française des Docteurs en Droit (AFDD) et, en particulier, de son Président le doyen Jacques Mestre.L'édition 2019 de l'ouvrage commun est structurée en trois parties: une première consacrée à des articles sur le thème de la mutation du droit, une deuxième présentant des thèses primées et une troisième partie dédiée aux témoignages de grands témoins internationaux.La mondialisation et le numérique, pour ne citer que ces deux phénomènes, imposent un réajustement de pans entiers du droit et des modalités d'exercice des métiers juridiques. Les praticiens du droit comme les enseignants doivent repenser leurs pratiques professionnelles, mais également, et surtout, leur environnement.L'objectif de l'ouvrage commun est d'analyser à partir des spécialités des différents auteurs l'impact respectif et cumulatif de ces macro-phénomènes sociétaux, économiques et techniques sur l'univers et les constructions juridiques.Cette ambition est aussi celle de nombreuses thèses, comme en attestent les prix décernés tous les ans aux plus prestigieuses d'entre elles, que l'ouvrage commun a souhaité présenter, soulignant par-là l'apport des docteurs en droit à ces enjeux.De la même manière, l'ouvrage met en valeur le parcours de grands témoins internationaux qui, après l'obtention d'un doctorat en France, ont embrassé une brillante carrière à l'étranger, sans oublier leurs travaux de thèse acte fondateur de leur réussite professionnelle.
La grande majorité de la population est maintenant concernée dans les villes et le processus d'urbanisation connaît une croissance annuelle. Les villes sont également les endroits où se produit le plus haut pourcentage du PIB mondial incluant ses impacts, telles les possibilités de bien-être ou, au contraire, de destruction si, par exemple, aucun projet n'est mis en œuvre pour lutter contre les changements climatiques et réduire le niveau élevé d'émissions polluantes produites par le développement urbain et industriel.Les villes sont de plus en plus importantes dans la configuration de la vie humaine, non seulement du point de vue de l'espace, de l'économie et de la consommation, mais aussi comme système de communication. L'impact croissant de la technologie dans les villes permet non seulement de transformer les citoyens en " supers consommateurs ", prêts à interagir avec tout ce qui se passe autour d'eux, mais aussi à transformer chaque individu en " données ", exploitées à diverses fins par le commerce, l'industrie, le gouvernement et diverses personnes.Sous le thème Communication, ville et espace public, le Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM) et la Chaire UNESCO en communication et culture de la paix de l'Université de Lima ont réuni, à Lima, au Pérou, les 8, 9 et 10 mai 2018, près de 130 conférenciers venus de tous les coins de la planète et quelques 950 participants pour aborder ces questions.Créé conjointement en 1994 par l'UNESCO et l'Université du Québec à Montréal (UQAM), ORBICOM regroupe 38 chaires universitaires UNESCO et 250 experts en communication provenant des secteurs universitaire, privé et public. Cette collaboration internationale fait d'ORBICOM un réseau unique, œuvrant dans les langues anglaise, espagnole et française et constitue une approche multidisciplinaire et interculturelle de la communication.
Pour assurer la réalisation d'un monde pacifique, de nombreux observateurs estiment qu'il est souhaitable d'adopter et de promouvoir une communication transculturelle et interculturelle orientée vers la paix. Cette approche doit être reflétée par les médias qui doivent permettre de perpétuer la sensibilité aux conflits et la résolution de ces mêmes conflits.Ces questions, et bien d'autres encore, ont été abordées à la sixième rencontre annuelle du Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM) sous le thème de Journalisme pour la paix et résolution de conflit dans les médias.Les objectifs de la rencontre annuelle étaient les suivants: 1) Identifier et analyser les conflits culturels et communicationnels à l'échelle de la planète, tels qu'ils sont reflétés dans les différents médias; 2) Comprendre l'histoire, les contextes et les raisons qui sous-tendent ces conflits et 3) Élaborer des solutions de communication transculturelle et interculturelle pour résoudre les conflits à l'échelle locale, nationale et internationale.À l'initiative de la Faculté des Sciences de la Communication de l'Universitas Pancasila, à Jakarta en Indonésie, la sixième rencontre annuelle des membres du Réseau ORBICOM a réuni 69 conférenciers venant de 29 pays et regroupé plus de 200 participants.
Pour assurer la réalisation d'un monde pacifique, de nombreux observateurs estiment qu'il est souhaitable d'adopter et de promouvoir une communication transculturelle et interculturelle orientée vers la paix. Cette approche doit être reflétée par les médias qui doivent permettre de perpétuer la sensibilité aux conflits et la résolution de ces mêmes conflits.Les objectifs de la rencontre annuelle étaient les suivants: 1) Identifier et analyser les conflits culturels et communicationnels à l'échelle de la planète, tels qu'ils sont reflétés dans les différents médias; 2) Comprendre l'histoire, les contextes et les raisons qui sous-tendent ces conflits et 3) Élaborer des solutions de communication transculturelle et interculturelle pour résoudre les conflits à l'échelle locale, nationale et internationale.Nouvel ouvrage de la collection Ecritures du Monde, cet ouvrage a été réalisé dans le cadre des rencontres annuelles des Chaires UNESCO en communication ORBICOM.Les objectifs de la rencontre annuelle étaient les suivants: 1) Identifier et analyser les conflits culturels et communicationnels à l'échelle de la planète, tels qu'ils sont reflétés dans les différents médias; 2) Comprendre l'histoire, les contextes et les raisons qui sous-tendent ces conflits et 3) Élaborer des solutions de communication transculturelle et interculturelle pour résoudre les conflits à l'échelle locale, nationale et internationale.Pour assurer la réalisation d'un monde pacifique, de nombreux observateurs estiment qu'il est souhaitable d'adopter et de promouvoir une communication transculturelle et interculturelle orientée vers la paix.
L'objectif de l'ouvrage "Droits en mutation - ouvrage commun des docteurs en droit" est d'analyser à partir des spécialités des différents auteurs l'impact respectif et cumulatif de macro-phénomènes sociétaux, économiques et techniques sur l'univers et les constructions juridiques.La mondialisation et le numérique, pour ne citer que ces deux phénomènes, imposent un réajustement de pans entiers du droit et des modalités d'exercice des métiers juridiques. Les professionnels du droit, avocats, magistrats, notaires, huissiers, juristes d'entreprises ou enseignants doivent repenser leurs pratiques professionnelles, leurs services, mais également,et surtout, leur environnement et les nouveaux enjeux auxquels sont confrontés leurs clients, leurs administrations, leurs employeurs ou les jeunes citoyens et futurs professionnels qu'ils sont en demeure de former.
Tome 1 Origines, identités et liberté d'expression
L'humanisme numérique est un thème complexe, au cœur des préoccupations de chacun mais que les spécialistes en Sciences de l'information et de la communication ne traitent pas habituellement aussi frontalement. Que cette thématique soit placée sous l'égide de l'UNESCO, institution conçue pour penser mondial, nous a permis d'aborder les modèles de développement économiques et sociaux sans les tropismes habituels et les références trop courtes au transhumanisme googlien. Parce que les approches, que les chercheurs d'Amérique latine, de Chine, d'Europe, d'Amérique du Nord, d'Afrique, apportent sur cette thématique sont diverses et les échanges qu'ils suscitent obligent à dialectiser les positions respectives, elles recouvrent des " allant de soi " spécifiques aux différentes cultures. Elles obligent aussi à pratiquer le langage de l'intercuturalité. Ce sont 60 spécialistes des médias, économistes, technologues, philosophes, juristes, artistes qui ont été mobilisé pour intervenir sur cette thématique. Ils couvrent un large champ: du préhumanisme au " posthumaniste antispeciste ", des nouvelles libertés d'expression aux conditions d'appropriation du numérique pour tous, de la présentation de scenarii prospectifs aux questions de l'individu augmenté ou simplifié, de la plateformisation de l'économie libérale et numérique aux nouvelles normativités juridiques mises en œuvre aujourd'hui.
Tome 2 Educations, appropriation et nouvelles frontières
L'humanisme numérique est un thème complexe, au cœur des préoccupations de chacun mais que les spécialistes en Sciences de l'information et de la communication ne traitent pas habituellement aussi frontalement. Que cette thématique soit placée sous l'égide de l'UNESCO, institution conçue pour penser mondial, nous a permis d'aborder les modèles de développement économiques et sociaux sans les tropismes habituels et les références trop courtes au transhumanisme googlien. Parce que les approches, que les chercheurs d'Amérique latine, de Chine, d'Europe, d'Amérique du Nord, d'Afrique, apportent sur cette thématique sont diverses et les échanges qu'ils suscitent obligent à dialectiser les positions respectives, elles recouvrent des " allant de soi " spécifiques aux différentes cultures. Elles obligent aussi à pratiquer le langage de l'intercuturalité. Ce sont 60 spécialistes des médias, économistes, technologues, philosophes, juristes, artistes qui ont été mobilisé pour intervenir sur cette thématique. Ils couvrent un large champ: du préhumanisme au " posthumaniste antispeciste ", des nouvelles libertés d'expression aux conditions d'appropriation du numérique pour tous, de la présentation de scenarii prospectifs aux questions de l'individu augmenté ou simplifié, de la plateformisation de l'économie libérale et numérique aux nouvelles normativités juridiques mises en œuvre aujourd'hui.
Tome 3 Prospective, mutations sociétales, économiques et juridiques
L'humanisme numérique est un thème complexe, au cœur des préoccupations de chacun mais que les spécialistes en Sciences de l'information et de la communication ne traitent pas habituellement aussi frontalement. Que cette thématique soit placée sous l'égide de l'UNESCO, institution conçue pour penser mondial, nous a permis d'aborder les modèles de développement économiques et sociaux sans les tropismes habituels et les références trop courtes au transhumanisme googlien. Parce que les approches, que les chercheurs d'Amérique latine, de Chine, d'Europe, d'Amérique du Nord, d'Afrique, apportent sur cette thématique sont diverses et les échanges qu'ils suscitent obligent à dialectiser les positions respectives, elles recouvrent des " allant de soi " spécifiques aux différentes cultures. Elles obligent aussi à pratiquer le langage de l'intercuturalité. Ce sont 60 spécialistes des médias, économistes, technologues, philosophes, juristes, artistes qui ont été mobilisé pour intervenir sur cette thématique. Ils couvrent un large champ: du préhumanisme au " posthumaniste antispeciste ", des nouvelles libertés d'expression aux conditions d'appropriation du numérique pour tous, de la présentation de scenarii prospectifs aux questions de l'individu augmenté ou simplifié, de la plateformisation de l'économie libérale et numérique aux nouvelles normativités juridiques mises en œuvre aujourd'hui.