Frédéric II (1194-1250) et l'Héritage normand de Sicile

Anne-Marie FLAMBARD-HÉRICHER
Date de publication
1er janvier 2001
Résumé
Récusé en 1200 par le pape Innocent III pour la succession à l'Empire, Frédéric II de Hohenstaufen sera couronné et sacré empereur en 1220 par Honorius III. Stupor Mundi pour nombre de ses contemporains, il n'a cessé d'être un sujet d'attentions et de controverses qui se sont cristallisées en une série de mythes opposés. L'image du roi et empereur souabe – politicien, législateur, mécène, naturaliste et homme de lettres – s'est développée sur un fond de visions épiques et merveilleuses liées aux splendeurs de la cour sicilienne et à la majesté des châteaux. Son œuvre politique n'est pas moins controversée : il est le pourfendeur des hérétiques et l'adversaire de la papauté. Le colloque réuni en septembre 1997 au château de Cerisy-la-Salle visait à mettre en lumière, dan ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
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Date de première publication du titre 1er janvier 2001
ISBN 9782841331109
EAN-13 9782841331109
Référence C00120-45
Nombre de pages de contenu principal 248
Format 16 x 24 x 0 cm
Poids 800 g
Récusé en 1200 par le pape Innocent III pour la succession à l'Empire, Frédéric II de Hohenstaufen sera couronné et sacré empereur en 1220 par Honorius III. Stupor Mundi pour nombre de ses contemporains, il n'a cessé d'être un sujet d'attentions et de controverses qui se sont cristallisées en une série de mythes opposés. L'image du roi et empereur souabe – politicien, législateur, mécène, naturaliste et homme de lettres – s'est développée sur un fond de visions épiques et merveilleuses liées aux splendeurs de la cour sicilienne et à la majesté des châteaux. Son œuvre politique n'est pas moins controversée : il est le pourfendeur des hérétiques et l'adversaire de la papauté. Le colloque réuni en septembre 1997 au château de Cerisy-la-Salle visait à mettre en lumière, dans les domaines juridique, religieux, économique, scientifique et artistique, les attaches privilégiées de Frédéric II avec l'héritage normand de sa mère Constance, fille de Roger II roi de Sicile et descendante de Tancrède de Hauteville.

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