À travers Peintures et Cent phrases pour éventails, il s'agit de comparer les projets poétiques de Victor Segalen et de Paul Claudel dans leur commune relation à l'Orient. Leur deux attitudes, très différentes, reflètent leurs choix philosophiques et leur singularité. Chez Segalen, la peinture chinoise est interprétée comme une sorte de " miroir sans objet ". En revanche, Claudel aborde la peinture japonaise comme " espace de signes ".
L'image et le réel : la peinture extrême-orientale interrogée par deux regards occidentaux
Du pictural à la poétique : la naissance de la forme
Avant de faire voir, voir les apparences fuyantes du monde
La thématique extrême-orientale, l'expression extrême-occidentale
La surface picturale, la surface littéraire
Le cours des images, le cours du temps
À travers Peintures et Cent phrases pour éventails, il s'agit de comparer les projets poétiques de Victor Segalen et de Paul Claudel dans leur commune relation à l'Orient. Leur deux attitudes, très différentes, reflètent leurs choix philosophiques et leur singularité. Chez Segalen, la peinture chinoise est interprétée comme une sorte de " miroir sans objet ". En revanche, Claudel aborde la peinture japonaise comme " espace de signes ".