Khal Torabully nous revient avec son dernier recueil Arbres et Anabase, un clin d'œil au texte de Saint-John Perse. Le poète réinvente l'histoire dans le nom d'une plante, autour d'un tronc, d'un fruit, dans l'art d'une cueillette. Les arbres initient une " marche vers le haut ". Ils impriment des marques, des traces de pas, des murmures, une histoire à imaginer avec les frissons de leurs noms... Le poète se laisse guider en " flaireur de signes, de semences ", en " suiveur de pistes, de saisons ", de " langues et d'histoires au flanc des paysages insulaires ".
Khal Torabully nous revient avec son dernier recueil Arbres et Anabase, un clin d'œil au texte de Saint-John Perse. Le poète réinvente l'histoire dans le nom d'une plante, autour d'un tronc, d'un fruit, dans l'art d'une cueillette. Les arbres initient une " marche vers le haut ". Ils impriment des marques, des traces de pas, des murmures, une histoire à imaginer avec les frissons de leurs noms... Le poète se laisse guider en " flaireur de signes, de semences ", en " suiveur de pistes, de saisons ", de " langues et d'histoires au flanc des paysages insulaires ".