Peu désireux d'administrer, incapable d'investir mais soucieux de l'équilibre de ses comptes, le gouvernement français a confié, au tournant du siècle, les responsabilités quotidiennes de ses nouveaux territoires oubanguiens à des compagnies concessionnaires. C'est ce visage d'une colonisation si particulière qui est montré dans le livre.
Peu désireux d'administrer, incapable d'investir mais soucieux de l'équilibre de ses comptes, le gouvernement français a confié, au tournant du siècle, les responsabilités quotidiennes de ses nouveaux territoires oubanguiens à des compagnies concessionnaires. C'est ce visage d'une colonisation si particulière qui est montré dans le livre.