Chez Malraux, les mains des personnages semblent un peu disproportionnées par rapport au reste du corps, quasi indépendantes, douées d'une vie propre. D'où leur caractère inquiétant. Or tout est contenu là : vie et mort, enfance, sexualité, biographie, un certain mode de relation à l'oeuvre d'art, et même la fraternité, dans le geste de toucher l'autre.
Chez Malraux, les mains des personnages semblent un peu disproportionnées par rapport au reste du corps, quasi indépendantes, douées d'une vie propre. D'où leur caractère inquiétant. Or tout est contenu là : vie et mort, enfance, sexualité, biographie, un certain mode de relation à l'oeuvre d'art, et même la fraternité, dans le geste de toucher l'autre.