Lire Les chants de Maldoror dans ses cent seize parenthèses, ce n'est pas s'en tenir aux marges, encore moins à l'accessoire. En explorant le travail de ces proliférantes incidentes, l'auteure interroge le mouvement pulsionnel du texte, sa duplicité énonciative et, dans sa confrontation au tissu intertextuel, tout un fonctionnement de la mémoire à travers lequel le sujet se retrouve mais aussi se perd. Un tel projet de lecture ne cherche pas à établir quelque vérité dernière de la poétique de Lautréamont, il tend à sympathiser avec les jeux retors d'une signifiance plurielle.
Lire Les chants de Maldoror dans ses cent seize parenthèses, ce n'est pas s'en tenir aux marges, encore moins à l'accessoire. En explorant le travail de ces proliférantes incidentes, l'auteure interroge le mouvement pulsionnel du texte, sa duplicité énonciative et, dans sa confrontation au tissu intertextuel, tout un fonctionnement de la mémoire à travers lequel le sujet se retrouve mais aussi se perd. Un tel projet de lecture ne cherche pas à établir quelque vérité dernière de la poétique de Lautréamont, il tend à sympathiser avec les jeux retors d'une signifiance plurielle.