La fin suppose une idée, au moins un sentiment vague, une image floue de ce qui est clôturé par elle – et de son approche critique. La fin d'un roman est un lieu stratégique où se révèlent de façon privilégiée les attitudes et les choix de l'auteur, les goûts et les modes de l'époque, et un révélateur irremplaçable des grilles de lecture individuelles. Elle est un carrefour des rencontres, un lieu où se rejoignent les différents chemins du texte.Analysant envoi, conclusion, clôture, dernier chapitre, épilogue, post-scriptum, et la problématique de la fin d'un roman ou bien du roman – et s'appuyant sur les œuvres de W. M. Thackeray, T. Hardy, J. Conrad, A. Clarke, L. P.Hartley, S. Rushdie, B. Bainbridge et A. S. Byatt – huit études spécifiques et une étude générale posen ...
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La fin suppose une idée, au moins un sentiment vague, une image floue de ce qui est clôturé par elle – et de son approche critique. La fin d'un roman est un lieu stratégique où se révèlent de façon privilégiée les attitudes et les choix de l'auteur, les goûts et les modes de l'époque, et un révélateur irremplaçable des grilles de lecture individuelles. Elle est un carrefour des rencontres, un lieu où se rejoignent les différents chemins du texte.Analysant envoi, conclusion, clôture, dernier chapitre, épilogue, post-scriptum, et la problématique de la fin d'un roman ou bien du roman – et s'appuyant sur les œuvres de W. M. Thackeray, T. Hardy, J. Conrad, A. Clarke, L. P.Hartley, S. Rushdie, B. Bainbridge et A. S. Byatt – huit études spécifiques et une étude générale posent la question de l'originalité ou de l'absence d'originalité des fins de romans dans la littérature anglaise.