Créées à partir de 1943, des associations régionales pour la sauvegarde de l'enfance et l'adolescence (ARSEA), ni tout à fait publiques ni tout à fait privées, sont chargées de gérer et de fédérer tout un ensemble d'œuvres et d'associations peu habituées à se concerter. La Bretagne est particulièrement représentative de ces premières formes de décentralisation de l'action sociale dont l'État cherche, au début des années 1960, à réduire l'influence.
L'invention du semi-public et de la politique de proximité : les Associations régionales de sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence
L'ARSEA bretonne, une tentative de fédération (1941-1951)
La Fédération bretonne prisonnière de son réseau (1952-1963)
La transformation des associations de sauvegarde en CREAI
Le CREAI de Bretagne de 1965 à 1975
Le CREAI de Bretagne de 1975 à 1985
Les premières conséquences de la décentralisation
Créées à partir de 1943, des associations régionales pour la sauvegarde de l'enfance et l'adolescence (ARSEA), ni tout à fait publiques ni tout à fait privées, sont chargées de gérer et de fédérer tout un ensemble d'œuvres et d'associations peu habituées à se concerter. La Bretagne est particulièrement représentative de ces premières formes de décentralisation de l'action sociale dont l'État cherche, au début des années 1960, à réduire l'influence.