Du Dire à l'être : tensions identitaires dans la littérature nord-américaine

Thierry DUBOST,Alice MILLS
Date de publication
1er janvier 2000
Résumé
Faut-il se dire pour être ? Comment les personnages de la littérature contemporaine du Canada et des États-Unis définissent-ils leur identité ? Autant de questions soulevées par une série d'études particulièrement attentives à la représentation littéraire d'individus en marge de leur société.Les écrits analysés sont ceux de Joy Kogawa, Dorothy Allison, Walter Mosley, Hal Bennett, Ursula K. Le Guin, Gloria Anzaldua, Herb Gardner et Margaret Atwood. Ils reposent sur des récits d'enfants, de pauvres, de femmes, de prisonniers ou encore sur la parole de citoyens canadiens et américains d'origine japonaise, africaine, mexicaine ou juive.Au-delà de la particularité des discours individuels, on perçoit certains traits rattachant les personnages à un ensemble plus vaste, parfoi ... Lire la suite
FORMAT
Livre broché
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Date de première publication du titre 1er janvier 2000
ISBN 9782841330997
EAN-13 9782841330997
Référence C00066-45
Nombre de pages de contenu principal 152
Format 14 x 22 x 0 cm
Poids 800 g
Faut-il se dire pour être ? Comment les personnages de la littérature contemporaine du Canada et des États-Unis définissent-ils leur identité ? Autant de questions soulevées par une série d'études particulièrement attentives à la représentation littéraire d'individus en marge de leur société.Les écrits analysés sont ceux de Joy Kogawa, Dorothy Allison, Walter Mosley, Hal Bennett, Ursula K. Le Guin, Gloria Anzaldua, Herb Gardner et Margaret Atwood. Ils reposent sur des récits d'enfants, de pauvres, de femmes, de prisonniers ou encore sur la parole de citoyens canadiens et américains d'origine japonaise, africaine, mexicaine ou juive.Au-delà de la particularité des discours individuels, on perçoit certains traits rattachant les personnages à un ensemble plus vaste, parfois même à plusieurs communautés : un enfant peut être pauvre, de sexe féminin, d'origine japonaise et interné. Mais on découvre aussi, et peut-être surtout, une tonalité d'ensemble où chaque fragment d'expression, si insolite et tronquée soit-elle, se mue en élément précieux, indispensable au tout et nécessaire à la construction d'une identité nouvelle. Comment, dès lors, s'étonner que l'image du patchwork revienne si fréquemment dans la littérature nord-américaine ?

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