L'objectif que s'était assigné ce colloque ressort du titre même de cet ouvrage : montrer comment l'effort de création et d'innovation qui, en Espagne comme ailleurs, caractérise la Renaissance, ne traduit pas systématiquement une rupture, mais s'appuie au contraire sur un riche héritage issu non seulement de l'Antiquité, mais aussi d'un passé médiéval plus ou moins proche.Cette filiation se trouve ici illustrée à travers des études qui sont centrées sur des figures de premier plan, comme Gil Vicente et Cervantès. Mais elle est aussi mise en lumière à propos d'aspects bien moins connus de la littérature et de la culture d'une période décisive, à l'aube des Temps modernes.
L'objectif que s'était assigné ce colloque ressort du titre même de cet ouvrage : montrer comment l'effort de création et d'innovation qui, en Espagne comme ailleurs, caractérise la Renaissance, ne traduit pas systématiquement une rupture, mais s'appuie au contraire sur un riche héritage issu non seulement de l'Antiquité, mais aussi d'un passé médiéval plus ou moins proche.Cette filiation se trouve ici illustrée à travers des études qui sont centrées sur des figures de premier plan, comme Gil Vicente et Cervantès. Mais elle est aussi mise en lumière à propos d'aspects bien moins connus de la littérature et de la culture d'une période décisive, à l'aube des Temps modernes.